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11 octobre 2011

RDC : Quel bilan pour Kabila ?

Le 28 novembre 2011, la République démocratique du Congo (RDC) élira son prochain président de la République. Candidat à sa propre succession, Joseph Kabila a récemment défendu son bilan "positif" à la tête de la RDC. Stabilisation macro-économique, rétablissement de la paix ou "5 chantiers"... En réalité, son bilan est bien plus contrasté.

filtre DSC02299.jpgDans quelques semaines les électeurs congolais devront choisir leur prochain président de la République pour les 5 années à venir. Si l'on ne connaît pas encore précisément le programme des différents candidats (la campagne officielle commence dans quelques semaines), le bilan du premier quinquennat de Joseph Kabila constituera sans doute le principal objet de débat de cette élection. Positif pour la Majorité présidentielle (MP) ou négatif pour les différents opposants, essayons d'y voir plus clair.

Sur le plan politique

Joseph Kabila affirme avoir ancré le pays dans un processus de pacification et de démocratisation durable. Dit-il vrai ? Oui, dans une certaine mesure. En 10 ans et de manière chaotique, la RDC a tout de même su passer d'un pays en guerre à un Etat en situation de post-conflit. Au crédit de Joseph Kabila : le Dialogue intercongolais, la gestion du « 1+4 » et la mise en place des élections de 2006 "venues mettre fin  à une longue période d’illégitimité". Quoi qu'on en dise, il s'agit sans doute d'un des points forts de son passage à la tête de l'Etat. L'opposition regrette juste que le chef de l’Etat soit "le fruit de la volonté de la communauté internationale. Tout ce qui se fait au Congo doit d’abord être approuvé par la communauté internationale", note Valentin Mubake de l'UDPS.

Sur le plan sécuritaire

C'est l'un des points faibles du bilan Kabila. Si le président congolais note des "résultats remarquables" dans le cadre "des actions menées à la fois contre les Fdlr, la Lra et le Nalu d’un côté et, de l’autre, contre les groupes armés réfractaires aux accords de Goma", la situation sécuritaire est loin d'être stabilisée sur le terrain. L'Est du pays grouille de groupes armés, il y a plus d'1,7 millions de réfugiés et la RDC est devenu tristement célèbre pour l'explosion du nombre de viols ( 1.152 par jour !). L'armée étant peu, voire pas payée, stabiliser l'Est du pays relève de la gageure.

Sur le plan économique

Le bilan est plus mitigé. Si le cadre macroéconomique du pays a été consolidé, notamment avec l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative-PPTE et la dette ramenée de 13 à 3 milliards Usd, la vie quotidienne des Congolais ne s'est pas améliorée. Avec un budget "lilliputien" de 5,9 milliards d'euros, l'Etat congolais n'a pas fait de miracle. La promesse de l'accès à l'eau, à l'électricité, à l'éducation aux moyens de transports, à la santé est restée lettre morte. Hausse des prix, salaires en berne, franc faible... une étude économique démontrait récemment que l'on vivait mieux au Zaïre en 1990, qu'en RDC en 2011. Joseph Kabila avait pourtant axé son quinquennat sur les travaux d'infrastructure au travers des fameux "5 chantiers". Si le bilan du "chef de chantier" Joseph Kabila n'est pas nul :  54.000 km de routes d’intérêt général, 6.000 km réhabilités, 1.200 km de voirie urbaine, des ponts, des bacs, des vedettes et des bateaux ont été achetés et dispatchés en province... ces réalisations ne sont perçues par les Congolais que comme du "saupoudrage", dans ce pays-continent grand comme 5 fois la France.

Sur la gouvernance

Si Joseph Kabila brandit la "tolérance zéro", la corruption et l’enrichissement illicite ont atteint des proportions inquiétantes en RDC. Dans tous les classements mondiaux, le pays fait parti des pays "à risque" pour les investisseurs, avec un indicateur du "climat des affaires" très dégradé.

Sur les Droits de l'Homme

C'est incontestablement le point noir du bilan du président Kabila. Son mandat a été marqué par de graves violations des Droits de l’Homme. Le cas le plus emblématique étant l'assassinat du célèbre militant des Droits de l'Homme, Floribert Chebeya. Il y a aussi les journalistes tués (8 en 6 ans) ou simplement intimidés par les agents des services de renseignements congolais (ANR) ou encore les opposants emprisonnés ou les partis politiques interdits, comme le Bundu dia Kongo (BDK). Le cas du jeune Armand Tungulu, "jeteur de pierre" sur le convoi présidentiel et retrouvé pendu dans sa cellule après son arrestation, finit de jeter le trouble sur les méthodes "musclées" de la police congolaise.

En résumé, les 5 années du mandat Kabila ont réussi à stabiliser le cadre macroéconomique du pays aux yeux des principaux bailleurs de fonds. C'est important parce que la RDC peut de nouveau demander le soutien économique de la communauté internationale... et c'est plutôt une bonne nouvelle. Mais c'est insuffisant, parce que cela n'a pas suffit à améliorer le quotidien des Congolais. En cause, les recettes qui ne rentrent pas dans les caisses de l'Etat malgré d'importantes richesses minières, forestières et hydrauliques. Sans argent dans les caisses, la marge de manoeuvre du gouvernement est donc trop étroite pour avoir les moyens de changer quoi que ce soit dans la vie des Congolais. Est-ce pour autant de la seul faute de Joseph Kabila ? Non. Le pays revient de loin et il paraît difficile de reconstruire un Etat en déliquescence d'un seul coup de baguette magique. Mais là où le président Kabila a raté son mandat, ce sont sur les bonnes pratiques de gouvernance : le régime autoritaire de Kinshasa et ses multiples entorses aux Droits de l'Homme n'a pas progressé d'un iota dans ce domaine pendant ces 5 dernières années. Pire, le régime s'est raidi... au point de réprimer systématiquement la moindre manifestation de l'opposition. Une présidence autocratique qui entache le premier mandat de Joseph Kabila.

Le prochain président de la République démocratique du Congo (RDC), Kabila ou un autre, aura donc du pain sur la planche. Un Etat entier est encore à reconstruire. En attendant, les Congolais s'impatientent de plus en plus. Avec une question dans la tête : pourquoi leur pays est si riche et eux... si pauvre ?

Christophe RIGAUD

Photo : Joseph Kabila au mur de la Miba à Mbuji Mayi en 2006 (c) Ch. Rigaud www.afrikarabia.com

Commentaires

Sur le plan politique outre le parti du président, le PPRD, le PALU d'Antoine Gizenga et le PCCO (parti communiste congolais) appuient la candidature de Joseph Kabila tandis que les diverses oppositions sous la pression de l'occident et spécialement des Etats-Unis tentent de présenter une candidature unique en la personne d'Etienne Tshisekedi bras droit de Mobutu durant plus de 20 ans.

Écrit par : anneet | 11 octobre 2011

L'impatience des congolais est plus que compréhensible.
Leurs dirigeants et candidats dirigeants la partagent.
Il suffirait que les instances financières, du monde, s'intéressent au sort des créatifs congolais, qui sont très nombreux, en leur permettant d'exploiter eux-mêmes leurs richesses énergétiques, biologiques et minérales.
Les B R I C ont étés supportés au départ pourquoi pas le Congo aujourd'hui ?

Écrit par : yvessevy | 11 octobre 2011

L'insécurité freine la volonté d'investir que ce soit l'accueil à l'aéroport, les policiers sur la route, les commissionnaires en tous genres, les pourboires des fonctionnaires, les motivations des magistrats, etc.

Écrit par : anneet | 11 octobre 2011

La question des viols n'est pas juste sécuritaire, c'est une question de droits humains à part entière (pitié, pas "droits de l'homme", l'espagnol est passé à "derechos humanos" depuis longtemps, seule la France rechigne et reste conservatrice ignorant que les femmes ne se reconnaissent pas dans le vocable "droits de l'homme" et c'est bien normal).

Il faut faire attention à cela, car à cause de cet échec à en faire une priorité de -droits humains-, cette question reste la dernière roue du carrosse, alors même que, de par sa gravité et ses conséquences horribles sur la société congolaise, elle devrait être la première.

Evidemment, elle pose la question des droits des femmes (au sein des droits humains) dans la société congolaise. Etre violée est une chose, que les violeurs ne soient pas punis en est une autre.

Dans les deux cas,au Congo, être une femme signifie que l'on aura ni reconnaissance du préjudice (et on parle de viol, un acte horriblement cruel et sadique) ni justice (tout le monde s'en fout, des centaines de milliers de femmes/filles/hommes/garçons comptent bien moins qu'UN Floribert Chebeya, ce qui n'est pas nécessairement bon signe, même si F. Chebeya était un symbole) ni réparation, évidemment (alors même que cette question là forcerait Kabila à affronter ses responsabilités et à faire de la lutte contre le viol une priorité nationale revendiquée - qui en plus pourrait être financée par des bailleurs heureux de le faire).

Donc pitié, la question des viols EST une question de droits humains, et c'est pour moi l'ECHEC NUMERO UN DE KABILA. merci de donner sa juste place aux centaines de milliers de victimes silencieuses et détruites par ce crime monstrueux et utilisé avec une cruauté presqu'incompréhensible (le plus souvent les viols sont collectifs, assortis de mutilations et actes de barbarie et souvent sur des êtres pré-pubères, s'ils ne sont pas carrément enfants ou nourrissons) au Congo.

MERCI.

Écrit par : Julie | 11 octobre 2011

D 'emblée, je vous remercie pour l'actualité du jour.En effet le président kabile joseph vas remporté ces présidentielles avec un succe sans précédent.

Écrit par : twite nsenga | 12 octobre 2011

Il est toujours navrant de se rendre compte de la sous-estimation de la dure réalité par des considérations personnelles et partisanes, au moment où une âme est en train d'être traquée dans une des savanes du pays. Le président, est-ce un extra terrestre? Ne souffre-t-il pas également dans sa chair? Au nom de quoi doit-on accepter la souffrance d'un seul congolais pour justifier le statut d'un autre? Le problème congolais est celui du devenir . En fait, veut-il être libre ou se faire toujours canarder par les polices d'immigration des autres pays parce qu'il ne veut pas arranger chez lui? C'est cela. Le reste n'est que du baragouin politique. Définissons l'avenir et surtout pour quoi?

Écrit par : claude | 12 octobre 2011

C'est une analyse intéressante qui pêche néanmoins par l'ignorance coupable de longues années de descente de notre pays aux enfers.
Tout ne peut donc être parfait dans tous les domaines après tout ce que notre pays a connu :le mobutisme durant 30 ans,les deux guerres ,le 1+4 ,n'ayons donc pas la mémoire courte au point d'oublier d'où nous venons.
A mon avis il est normal que le bilan de Joseph KABILA se présente ainsi ,il pourra sans doute améliorer les aspects sur lesquels son bilan est mitigé/

Écrit par : Théophile | 12 octobre 2011

Les paroles s'en va, mais nous reconnaitrons le président qu'on aura choisi nous même. quant a trop démontrer aux congolais le président a élire, c'est de la peine perdue. Nous congolais avons bcp souffert, aucun changement spectaculaire pour mon pays, c'est pourquoi quant a moi je pense qu'il faut changer de président. Donner la chance a un autre qui n'a jamais été aux affaires de corruption, un modèl de président au profile de mzee kabila, de tshisekedi. Ce papa me convint par sa grande moralité et son sens de lutte qui nous a ouvert tous le monde politique. Dieu seul sait pour donner qlq chose qui correspond. N'encaissons pas de mauvais karma sinon on ne s'en sortira pas de cet enfer avec la continuité de ce régime qui nous a déjà montrer ses limites a tout les niveaux. Que ceux qui se sentent heureux dans ce régime peuvent soutenir Joseph Kabila mais je peux dire ici qu'ils sont minoritaires. je ne pense pas non plus que le congolais pourrons voter le programme politique,non, mais l'homme qui va le diriger, c'est tout. pourquoi? aujourd'hui Kengo avec les politiciens veulent prouver scientifiquement qu'ils prennent l'opposition congolaise. Alors que tous ces monsieur s ont travailler et travaillent et payés par le même gouvernement. Ils ne comprendrons pas qu'est ce que changer le système par exemple supprimer l'OCC et l'enserrer a la DGDA afin alléger les dépenses des importateurs... A mon humble avis tout changement de régime connais des vrais changements spectaculaires au profit toujours des peuples.

Écrit par : OPSSON TOTO | 12 octobre 2011

Le droit des femmes est un droit de l'homme comme le droit des hommes est un droit de la femmes. Le droit à la santé doit être le premier droit de tout être humain. Seuls des humains en bonne santé, physique et mentale, sont aptes à gouverner éthiquement leurs semblables.
Que les deux genres se concertent à tous les niveaux de la société pour définir, ensemble, les droits et devoirs de leurs dirigeants et candidats dirigeants.
Certains pays l'ont déjà fait fort heureusement.

Écrit par : yvessevy | 12 octobre 2011

chers compatriotes ,
l'heure est grave , alors ne nous perdons pas dans la philosophie , le temps est à l'action ; moi je vous dis qu'il faut être prêt pour quadriller le terrain le 28/11/11 prochain aucune tricherie n'est permissible , soyons là pour déjouer toute conspiration ; ce peuple a besoin des dirigeants patriotiques et dévoués à son bien-être , le jour où le congolais aura une éducation et une instruction solides , un emploi rémunéré à sa juste valeur ,un pays sécurisé tant aux frontières que dans les quartiers , ce congolais là sera fier de ses dirigeants ! mais ce n'est pas ce que kabila a réalisé dans son quinquenat : ni éducation ni emploi ni sécurité , le reste est pure bluff ; car lui et ses sbires ont acheté des manoirs en europe , des actions bancaires aux îles caïmans , ils ne sont pas émus par la souffrance de mères , soeurs , filles à l'est du pays car ils s'ennivrent de lait ; barrons la route à cet imposteur , sinon c'en est fini pour nous ! le monde est entrain de basculer dangereusement , celui qui ne produit pas ne mange pas non plus , l'europe nous a longtemps spolié , et les blancs ont longtemps vécu au-dessus de leur moyens , aujourd'hui c'est débacle totale , les usines ferment une à une faute de productivité , mais nous nous avons encore une diversité de richesse inexploitée , à quand notre essor ? car toute vie atteint son apogée puis amorce le déclin , mais au congo le chemin a été coupé à peine la marche débutée , à quand notre apogée ? nous avons tout ,sauf les hommes , pour atteindre l'excellence ! réveillons nous chers compatriotes ,tangu i fueni!!

Écrit par : samsuffit | 12 octobre 2011

@ samsuffit Votre optimisme vous grise totalement. C'est trop facile d'accuser l'autre et l'étranger mais explique moi pourquoi le petit commerce dans les mains des étrangers prospère. Les clients la très grande majorité nationale y trouve intérêt; mais certains voudraient en faire l'exclusivité des nationaux certainement pas dans l'intérêt des consommateurs, est-ce normal?

Écrit par : anneet | 12 octobre 2011

anneet tu pense que tes profits à côté de Kabila valent la vie du congo? le plus facile à faire c la maîtrise de l'espace économique interne: face à ce libanais qui payent les taxes aux mains de kabilistes pprdiens, paludisme. qu'attendre d'un soldat qui ne paye jamais son billet de taxi-bus, qui arrache tout avec l'arme de l'état la nuit, qui viole femme quand il veut, sans moindre punition: cochemard. c'est ça la rdc de kabila. un imposteur pareil ne peut meriter le choix de notre peuple. la vérité est que vous les rwandais et les incapables de la trempe de Bochab, vous aimez kabila pour le manipulé dans son incompétence notoire. Kabila ne connait pas comment faire sortir le pays du desastre , observer le, il multiplie plus la sécurité autour de lui. la garde republicaine est plus nombreuse et mieux équipés que l'armé nationale, nous connaissons et voyons tout ça. kabila est incapble de nourir même sa propre garde: vas-y à l'entrée de la présidence (palais de la nation) le soldat quemande 500fc pour prendre un jus( boison gazeuse de 30cl). son cercle est plein de rwandais parcequ'ils ont une mission. laissez nous mediter sur notre vengeance. qu'ils le veulent ou pas Kabila doit partir. la décision a été prise par nous qui ne mageons pas la part de notre heritage legué par les pères de notre indépendance. kabila ne pense qu'à ses deux enfants et sa femme olive (marcheur de propangande: cette pute de lemba: hôtel univers), il ivesti pour le comment seront -ils demain, quelle école pour eux. kabila a le cerveau d'un écolier de primaire chez nous. mais ce que le rwanda a cherché , il le payera cher, cher, cher, cher, cher...M'zee est parti, yeroodia l'a trahi en acceptant de placer et choisir ce neveu de james kabarebe dans une réunion des hautes auorités nous donné un bandit à la présidence, le jour arrive, kabila prépare toi. c que kabila a fait n'a rien de spécial, tout le monde à la tête de ce pays peut le faire et mieux que lui. ce qu'il devait faire , avec toute les oppotunités qu'il a, il n'a pas pu penser à cela. s'achête de motos pour se divertir à kingakati parît prioritaire à lui. j demande à l'union europeenne maintenant que kabila raffermi sa dictature, ils ne disent rien, mais si ça continue jusqu'aux éléctions, ben laden c'était rien, mwa je veux m'attaquer aux intérêt de blanc en RDC. trop c trop!

Écrit par : twist22 | 13 octobre 2011

Chers compatriotes reflechissons nous murement,quoi pensons nous pour l'avenir de notre cher beau pays au moment ou la politique de jkabila et de amp,nous ramene dans la dictature de mobutu,a une soufrance visible et premedite.congolais et congolaise nos fr et sr de l'est violer tue massacre a toute sorte d'arme.c'est une humiliation pour nous qui aurons respect de congolais. de partout,nous sommes humilie a cause d'un gvt iresponsable nous ne sommes pas respecter dans de pays que nous sommes venu cherche de quoi a soutenir nos familles dont kabila et son gvt les a prive les travail les etudes la securite.pendant que d'autre pays africain se cherche a sortir dans la bonne gouvernance;alors que chez nous en rdc les dirigents fonce les pays dans un ko total.cher compatriotes restons ensembles ne nous diviser pas par les interet egoiste aime ton fr la ou vous etes chasse par kabila et son gvt prions pour le congo.si ils avaient tue lumumba,mze ld kabila qu'ils sachent il y'aura d'autres que nous sommes.banirons nous la peur car pour une certainne liberte le sang et le sacrice a paye.notre sang a beaucoup couler de lumumba a nos jour et nous donnerons cela jusqu'a la liberation du congo de tout les gents mal intentionner. car ce le temps cette fois si ou jamais. VIVE LE CONGO ET VIVE LE PEUPLE CONGOLAIS,QUE DIEU BENISSE LA REP DEM DU CONGO.ne nous n'oublions pas notre souffrance regarde en arriere d'ou venons nous,et ou allons nous.je ne veux pas que nous oublions si facilement notre passe,notre souffrance et tous ceux qui ont verser leur sang pour notre combat de la liberte,c qui sont en prisoner injustement,nos fr et sr obliger a se refugie en ouganda burundi et dans d'autres pays.souvenons nous de nos freres et soeurs.massacre et violer .tous ceux qui ont commit de crimes contre nous de mobutu a jkabila payerons un jour car ont sanctionne les mechants pour apprendre la loi.

Écrit par : F.MBOMA | 16 octobre 2011

Pour éviter les exactions des militaires qu'ils restent dans leur sous-région d'origine car on ne viole ni soeurs ni belles-soeurs; quant à Kabila que vous voulez voir partir je ne comprends pas alors l'appui qu'il a du PALU et du PCCO (parti communiste congolais), vous préférez sans doute les représentants de la bourgeisie compredore liée à l'occident dont Kabila a encore démontré son indépendance au retour de New-York en faisant escale à Cuba et en Guinée équatoriale.

Écrit par : anneet | 17 octobre 2011

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