Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30 octobre 2011

RDC : Human Rights Watch plaide pour des élections "sans haine"

La République démocratique du Congo (RDC) vit actuellement au rythme des violences électorales. Selon Human Rights Watch (HRW), "les candidats ne devraient pas inciter à la violence et les services de sécurité devraient cesser leurs attaques contre les candidats politiques et les manifestants". Des élections présidentielle et législatives doivent se tenir le 28 novembre prochain.

Capture d’écran 2011-10-30 à 20.03.43.pngDepuis plusieurs mois, les manifestations de l'opposition congolaises sont systématiquement réprimées par les autorités de Kinshasa. La dernière manifestation à Mbujyi-Mayi s'est achevée sur le bilan d'1 mort et de 3 blessés. Dans ce contexte de vives tensions en RDC, l'ONG Human Rights Watch (HRW), estime que "les candidats politiques et leurs partisans en République démocratique du Congo ne devraient pas inciter à la violence et devraient s’abstenir d’employer des discours haineux durant la prochaine campagne électorale". Des élections présidentielle et législatives sont en effet prévues en RD Congo le 28 novembre 2011.

Depuis mars 2011, HRW a relevé "des dizaines de cas de discours haineux manifestement basés sur des critères ethniques, ainsi que d’incitation à la violence, de la part de candidats politiques et de leurs partisans. La police a par ailleurs employé une force inutile et excessive contre des manifestants politiques. Les agressions verbales et physiques, principalement contre des candidats de l’opposition et leurs partisans, ont créé un climat de peur dans certaines régions et soulevé des préoccupations relatives à la crédibilité des élections."

Selon Anneke Van Woudenberg, chercheuse à Human Rights Watch, "les candidats qui incitent à la violence risquent de provoquer une campagne électorale sanglante, et les autorités judiciaires doivent intervenir pour arrêter ce genre de comportement. Toute personne aspirant à une fonction gouvernementale devrait également reconnaître les graves dangers du recours à des discours haineux."

Pour lire la suite de l'enquête d'Human Rights Watch, cliquez ICI.

Commentaires

NB; en 1990, le meme mr au nom KIUNGU WA KUMUANZA, a commis une genocide au katanga(ancien SHABA) Et je me demande jusq'aujourd'hui comment ce mr est toujours en liberte tout en utilisant des poste cle' au sein du gouvernement de notre pays. Sur ceux, on dira que la communaute' internnationale il est pour quelque chose ds cet'histoire de genocide commise par l'homme de taille courte et mediocre mr KIUNGU.
Je demande a la communaute' internationale de metre mr kiungu devant la jutice. La france, l'angleterre, les usa, ou sont ils. On dirra que mr kiungu, est plus fort que vous ou vs etes complice. Vous ns avez imposer KABILA a la tet de la RDC. Aujourd'hui le meme histoire se repetent.
Vs savez seulement d'aller envahir les pays souverains, tel le cas de la libye, l'irak, l'afganistant avec de faux pretexte. KABILA, tue des congolais jour et nuit, vos decisions sont prise et comuniquer par papier.
Je vous demande de faire quelque chose, metre ces mrs devant la cour penal international;
1- KIUNGU WA KUMUANZA;( GENOCIDE ET INCITATION A LA HAINE)
2- KABILA KABANGE ( POUR CRIMES PERPETRER SUR L'ETENDUT DE LA RDC EN TUANT LES HOMMES DE DROITS HUMAINS, LES ETUDIANTS, LES RESPONSABLES DE PARTIS POLITIQUES, LES AUTORITES RELIGIEUX, ET AUTRE.

Écrit par : IBRAHIM MOELA | 31 octobre 2011

Mon matériel et des fichiers audio ne peuvent pas être utilisées en dehors de ce site sans mon autorisation écrite. Hallucinant ce message ? Un bug ? Un hack ?

Écrit par : Marie | 14 juin 2012

Les commentaires sont fermés.