Image 1.png

L'expression est de William Bourdon, avocat de l'ONG Sherpa, une des deux associations à l'origine de la plainte sur les "biens mal acquis". La cour d'appel de Paris vient en effet de juger irrecevable la plainte déposée en 2008 par Transparency International. Elle a refusé qu'un juge d'instruction enquête sur l'affaire des "biens mal acquis" présumés par les présidents du Gabon, du Congo, de Guinée Equatoriale et de leur famille. "Aujourd'hui, c'est champagne pour l'association de malfaiteurs franco-africaine qui organise les pires profits du pillage des deniers publics africains"...

Lire la suite 0